C’est le deuxième film d’animation de l’année au box-office après Les Minions et devant Pourquoi j’ai pas mangé mon père. Vice-Versa, avec ses plus de quatre millions d’entrées en France, est un succès autant auprès du jeune public que chez leurs aînés.
Alors que le film débarque sur nos platines de salon juste avant de s’immiscer, sans nul doute, sous la majorité des sapins de Noël; il est temps de (re)découvrir ses qualités !
Riley,11 ans, profite d’une vie bien rangée avec sa famille et ses amis dans une petite ville du Minnesota. Tout va pour le mieux jusqu’à ce qu’un déménagement imprévu à San Francisco (Californie) ne vienne tout bouleverser.
Car nul ne sait vraiment ce qui peut se passer dans la tête d’une jeune fille soumise à tant de stress, sauf, quand Pixar nous invites à plonger, avec fantaisie et bonheur, dans les pensées et les émotions d’une pré-adolescente.
Vice-Versa réussit le tour de force de réunir, devant un divertissement de qualité, les petits et les grands grâce à plusieurs niveaux de lecture, une animation magnifique (surtout dans le monde cérébral), un montage savamment orchestré qui laisse la place à l’action, au rire, mais aussi à des émotions plus graves, plus intimistes. C’est un grand moment de Cinéma, une mise en abîme où l’on s’amuse avec ses proches à personnifier nos propres émotions une fois le film terminé.
La bande-annonce de Vice-Versa.
Pour prolonger les émotions du film :
Le premier rendez-vous amoureux de Riley.
Le Blog d'Eric Granier 
Pas mon film d’animation préféré.
Nous avons été voir cet après-midi Hôtel Transylvania 2, bonne projection.
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Je l’ai vu également ce matin avec les enfants. J’ai préféré le premier car on avait l’effet de surprise. J’ai aussi trouvé la première heure un peu poussive, heureusement l’arrivée de Papy Vlad donne un bon coup de boost au film. Ils auraient pu l’intégrer plus tôt. Vivement le prochain Pixar en novembre !
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